afrique aimer amis amitié amour anniversaire annonce background belle blog bonne burkina
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· NECROLOGIE (12)
· NOUVELLES DE LA VICE PROVINCE (6)
· MESSAGE DU VICE PROVINCIAL (9)
· MESSAGE DU MAGISTER (8)
· REFLEXIONS (6)
· PRESENTATION (3)
· LES ASSOCIES EN AFRIQUE (1)
· PRESENTATION DES OEUVRES (0)
tonmoeric@gmai l.com c'est ma boîte e-mail
Par Tonmo Eric, le 25.03.2018
bonjour mes révérends père! je suis vraiment touché par la spiritualité du père jean eudes mais vous n'avez pa
Par Tonmo Eric, le 25.03.2018
bonjour très révérend père !
je suis toucher par le charisme de père eudistes mais je suis au niveau de l' a
Par Mandazou Massengue, le 04.01.2016
bon soir je cherche à bien connaitre votre congregation. il y a des jeune qui me posent des questions sur vous
Par Ucim edouard, le 20.09.2015
feliciation pere maxime pour cette nouvelle charge que vous avez accepté que le seigneur tout puissant vous ai
Par Rd Fr.Armand Sanda, le 03.01.2015
· Homélie du Père Jules AMAGNON
· Mgr René Marie EHUZU
· le P. L. De VILLEROCHER
· Programme des Obsèques
· Mgr René-MArie EHUZU
· Je ne vous laisserai pas orphelins (Jn 14,18)
· Homélie à la Formation rentrée académique 2012-2013
· RETRAITE DE FIN D'ANNEE AU THEOLOGAT
· NOMINATION DU NOUVEAU VICE PROVINCIAL D'AFRIQUE
· Obsèques de Maman FELIHO
· Décès du papa du P. Patrice ADJERAN
· Démission du pape Benoit XVI
· Mgr Ehouzou rappelé à Dieu
· CHANGEMENT D'ADRESSE
· MESSAGE DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI POUR LE CARÊME 2012
Date de création : 16.01.2012
Dernière mise à jour :
07.08.2014
46 articles
La "rumination" de la Parole de Dieu dans la vie et dans le ministère du prêtre
« Il faut aussi chaque jour prélever de la lecture quotidienne quelque passage pour le confier à la panse de la mémoire ; un passage que l’on assimilera avec plus de soin et qui, rappelé à la bouche, sera plus longuement ruminé ; un passage qui soit plus en rapport avec notre projet de vie, qui soutienne notre attention, et retienne le cœur de toute dispersion en le rendant insensible aux pensées vagabondes » (Guillaume de Saint-Thierry, Lettre aux Frères de Mont-Dieu, 122 ).
Les pères de la spiritualité monastique ont toujours aimé l’image de la rumination pour décrire le travail de méditation intérieure de la Parole de Dieu, auquel toute personne consacrée devrait s’appliquer pour alimenter quotidiennement sa vocation. Toute vocation chrétienne est la réponse de toute une vie à la Parole que Dieu nous adresse en nous appelant à le suivre, à le servir, à l’aimer. Celui qui perçoit dans sa vie ne serait-ce qu’une seule Parole que Dieu lui adresse personnellement comme vocation en cherchera ensuite toujours l’écho et l’amplification dans l’écoute et dans la méditation de l’Écriture sainte. Une méditation vitale, nécessaire pour vivre, comme la nourriture, parce que « l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » (Mt 4,4 ; Dt8,3).
Mais ruminer, ce n’est pas seulement manger : c’est aussi goûter et goûter encore et favoriser une meilleure assimilation. Ce que l’on rumine, s’assimile plus facilement au corps et facilite la vie et l’œuvre de celui-ci. La vie de notre foi, de notre vocation chrétienne, de la vocation sacerdotale, est un corps vivant que la parole de Dieu alimente, fait croître, éperonne de son énergie, de sa grâce. Mais si cette alimentation n’est pas soignée, si elle est superficielle et se fait à la hâte, tout le "métabolisme" de la vocation s’en ressent et le ministère se traîne avec fatigue, découragement et ennui.
La rumination c’est avant tout s’arrêter, c’est un repos vivant mais tranquille. Après avoir brouté l’herbe en vaguant dans les pâturages ou mangé le foin emmagasiné depuis longtemps dans les greniers, le ruminant s’arrête, il s’étend, il se repose. Tout se concentre dans l’action de mâcher et remâcher ce qui a été recueilli. On ne calcule pas le temps : c’est ce qu’on rumine qui détermine combien de temps il faut pour l’assimiler. Mais dans l’entretemps on le goûte.
La vie d’un prêtre est un ministère, une mission, qui comporte une tâche essentielle d’annonce et d’évangélisation. Pour accomplir cette tâche, la rumination de la Parole lui est particulièrement nécessaire. Même si, souvent, le ministère semble précisément faire obstacle à la rumination de la parole de Dieu qui devrait l’alimenter. Il n’est pas facile de s’arrêter, de faire silence, de méditer au beau milieu d’une dynamique de sollicitude pastorale qui se présente toujours dans l’urgence et épuise les forces. Mais tous les pasteurs se rendent compte que la course pour faire paître le troupeau devient absurde s’ils n’apportent pas la nourriture dont le troupeau a besoin. La vache rumine tranquillement même si le veau la tourmente pour qu’elle se lève et l’allaite. La nature sait que l’on ne donne pas ce que l’on ne reçoit pas.
Aujourd’hui, la grande tentation, c’est la hâte, et Dieu ne respecte pas les modes dans sa façon de nous parler. Il prononce lentement ses Paroles, même si nous sommes impatients d’entendre la fin de la phrase et de faire autre chose. Marthe elle aussi avait hâte de faire autre chose tandis que Marie perdait son temps, assise, à écouter Jésus. Et pourtant Marthe commençait déjà à s’apercevoir, avec irritation, que ce qu’elle faisait sans l’agitation était comme un château de sable qui se désagrégeait à chaque mouvement de ses mains. Celui qui ne s’arrête pas pour écouter avec son cœur la Parole qui crée l’univers, se retrouve à construire sur le sable, à construire des maisons qui s’écroulent.
Mais la Parole de Dieu est le Verbe de la vie, Jésus-Christ. S’arrêter pour l’écouter veut dire s’attacher à sa présence pour l’assimiler jusqu’à l’Eucharistie. C’est ce qu’ont perçu ses disciples, même s’ils ne comprenaient pas ses paroles, et peut-être précisément pour cela : « Seigneur, à qui irons-nous ? Tu as Les paroles de vie éternelle » (Jn6,68).
Mais c’est précisément là où la Parole de Dieu coïncide avec le mystère eucharistique du Christ que nous devons nous arrêter, ruminer dans le silence, méditer avec le cœur de la Vierge Marie le Verbe qui se fait Pain de la vie éternelle. Le fait de s’arrêter devient alors action du Christ, le silence, parole du Christ ; et ce que nous recevons devient le Don plus grand que nous puissions faire au monde.
Mauro-Giuseppe Lepori OCist
Abbé Général
Traduction de Bernard-Joseph SAMAIN, ocso
PRESENTATION DE L’EXHORTATION POST SYNODALE « ECCLESIA IN MEDIO ORIENTE ».
INTRODUCTION
Le 16 Septembre 2012, le pape Benoît XVI remet à l’Eglise d’Orient une exhortation post-synodale apostolique après la messe à Beyrouth. Cette exhortation intitulée, " Ecclesia in Medio Oriente », reprend les conclusions du synode des évêques sur le Moyen-Orient tenu en Octobre 2010. Elle invite l'Eglise catholique du Moyen-Orient à relancer la communion dans l'Eglise, et à l'ouverture au dialogue avec les juifs et les musulmans. C'est une communion, une unité qui doit être atteinte dans le cadre d'une répartition géographique marquée par une diversité religieuse, culturelle et sociopolitique au Moyen-Orient. Le pape à travers ledit document renouvelle son appel pour conserver et promouvoir les rites des Églises orientales, patrimoine de l'Église du Christ.
Ce document papal comprend trois grandes parties que nous allons découvrir. Mais avant, situons son contexte. Nous proposerons aussi en dernier lieu un essai d’actualisation.
I) -Contexte de l’Exhortation Ecclesia in Medio Oriente
Le Moyen Orient désigne ensemble géographique regroupant les pays asiatiques situés au nord-ouest de l'océan Indien, soit l'Iran, l'Irak, les pays de la péninsule Arabique(l'Arabie Saoudite (qui occupe presque les trois quarts de la péninsule), le Yémen, le sultanat d'Oman, les Émirats arabes unis, le Qatar, le Koweït et Bahreïn, qui occupe une île, l'Afghanistan et le Pakistan
Dans cette région vivent des fidèles natifs appartenant aux vénérables Églises orientales catholiques sui iuris?: l’Église patriarcale d’Alexandrie des Coptes?; les trois Églises patriarcales d’Antioche?: celle des Grecs-melkites, des Syriaques et des Maronites?; l’Église patriarcale de Babylone des Chaldéens et celle de Cilicie des Arméniens. Y vivent également des Évêques, des prêtres et des fidèles appartenant à l’Église latine. Sont présents aussi des prêtres et des fidèles venus d’Inde des Archevêchés majeurs d’Ernakulam-Angamaly des Siro-malabars et de Trivandrum des Siro-malankars, et des autres Églises orientales et latine d’Asie et d’Europe de l’Est, ainsi que de nombreux fidèles venus d’Éthiopie et d’Érythrée (n°2). A ceux-là s’ajoutent les tendances schismatiques de Rome en Orient qui sont les Eglises monophysites ! (une seule nature divine) et nestoriennes (Jésus n’est pas à la fois Homme et Dieu, Jésus est devenue Dieu plus tard)issues de deux mouvement de pensée au Vème siècle. Ces différentes croyances ne favorisent pas souvent la bonne cohabitation. A cela, il faut ajouter le fondamentalisme remarquable chez les musulmans de la région. Il faut souligner la situation actuelle de la violence qui atteint une ampleur incontrôlable et qui embrase la région depuis en Syrie. La paix est donc profondément menacée. C’est au cœur de cette situation que le Pape adresse aux chrétiens son message.
II) APPROCHE SYNTHETIQUE DE L’EXHORTATION « ECCLESIA IN MEDIO ORIENTE »
***Première partie :
·La vie chrétienne et œcuménique (n° 11-18):
L’œcuménisme ne signifie pas « uniformité de la tradition et de célébrations ». En accord avec le Concile Vatican II, le Pape encourage l'œcuménisme spirituel, et une communion comprise non pas comme une confusion, mais plutôt comme la reconnaissance et le respect des autres. Dans le même temps, l'Exhortation réaffirme l'importance du travail de la théologie et des diverses commissions œcuméniques et communautés ecclésiales, afin que - conformément à la doctrine de l'Eglise - ils parlent d'une seule voix sur les questions les plus importantes morales (famille , la sexualité, la bioéthique, la liberté, la justice et la paix). (point n°12 et 13)
En outre les juifs, les chrétiens et les musulmans croient en un Dieu unique et pour cette raison, il est à espérer qu'ils puissent reconnaître dans «l'autre croyant" un frère à aimer et respecter, en évitant l'exploitation de la religion à des conflits qui sont «injustifiable pour les croyants authentiques". Ce qui amène le Pape à les inviter au dialogue interreligieux (n°19-29).
·Deux nouvelles réalités (n°29-30):
Le pape fustige deux attitudes extrêmes. D’une part, on a la mauvaise compréhension et pratique de la laïcité qui étouffe la liberté religieuse et la bonne collaboration entre la politique et la religion dans un respect mutuel. D’autre part, on a le fondamentalisme religieux qui cherche à prendre le pouvoir par la violence. L'Exhortation considère longuement la question de la sécularisation, y compris ses formes extrêmes, et le fondamentalisme violent qui prétend avoir une origine religieuse. Pour cette raison, le pape publie un appel vibrant à tous les chefs religieux du Moyen-Orient pour tenter, par leur exemple et leur enseignement, à faire tout son possible pour éradiquer cette menace qui affecte indistinctement et fatalement les croyants de toutes les religions.
En ce qui concerne la migration très importante des chrétiens qui se trouvent dans une position délicate, parfois sans espoir, le pape prie les dirigeants politiques et religieux afin d'éviter des politiques et des stratégies tendant à un Moyen-Orient monochromatique qui ne reflète pas la réalité humaine et historique (n°31-36).
***Deuxieme partie
Dans cette partie, le Pape s’adresse à toutes les structures composantes de l’Eglise à savoir les patriarches, les évêques, les prêtres et les séminaristes, les consacrés, les laïcs, les jeunes et les enfants.
·Les Patriarches (n°39 et 40):
«Les dirigeants des Églises sui iuris», en parfaite union avec l'Évêque de Rome, sont invités à rendre tangible l'universalité et l'unité de l'Eglise, en signe de communion ;
·Les Evêques (n°41-44):
Ils doivent proclamer la Parole de Dieu avec courage et fermeté et défendre l'intégrité et l'unité de la foi, dans ces situations difficiles qui sont malheureusement courantes au Moyen-Orient.
·Les prêtres et les séminaristes (n°45-50):
En tant que serviteurs de la communion, les prêtres et les séminaristes doivent offrir un témoignage courageux et sans ambiguïté, doivent se conduire de façon irréprochable, et doivent être ouverts à la diversité culturelle de leurs Eglises (apprentissage, par exemple, leurs langues et cultures), ainsi que la diversité ecclésiale et œcuménique et le dialogue interreligieux.
·Les consacrés (51-54):
Les hommes et les femmes religieuses doivent collaborer avec l'évêque dans les activités pastorales et missionnaires.
·Les laïcs (n°55-57):
La tâche de promouvoir une bonne administration de biens publics, la liberté religieuse et le respect de la dignité de chaque personne.
·La famille (n°58-61):
La famille chrétienne doit être pris en charge dans les problèmes et les difficultés auxquelles elle est confrontée, et doit s'attacher à sa propre identité la plus profonde, afin de devenir d'abord une église domestique qui éduque dans la prière et dans la foi, une pépinière de vocations, l'école naturelle de valeurs et d'éthique de la vertu, et la cellule fondamentale de la société. L'Exhortation accorde une attention considérable à la question des femmes au Moyen-Orient et à la nécessité de l'égalité avec les hommes, face à des discriminations dont ils sont victimes, qui offensent gravement non seulement les femmes elles-mêmes, mais aussi et surtout Dieu.
·Les jeunes et les enfants:
Le pape exhorte à ne pas leur avoir peur ou honte d'être chrétiens, de respecter les autres croyants juifs et musulmans, et de toujours cultiver, à travers la prière, une véritable amitié avec Jésus, aimer le Christ et l'Église. En ce qui concerne les enfants, en particulier, l'Exhortation invite les parents, les enseignants, les guides et les institutions publiques à reconnaître les droits des mineurs à partir du moment de leur conception (n°62-65).
***Troisieme partie
Le Pape exhorte sur la vie spirituelle de l’Eglise : la liturgie et vie sacramentelle, la prière et le pèlerinage, l’évangélisation et la mission de l’Eglise, la catéchèse et la formation chrétienne
Avant tout, il met la Parole de Dieu au cœur de toute chose en affirmant qu’elle constitue l’âme et la source de communion et témoignage (n°65-74)
·Liturgie et vie sacramentelle (n°75-81):
La liturgie est un élément essentiel de l'unité et de la communion spirituelle. L'importance du baptême est une question clé, qui permet à ceux qui reçoivent ce sacrement à vivre en communion et à développer une véritable solidarité avec les autres membres de l'humanité, sans discrimination fondée sur la race ou de religion.
La prière et le pèlerinage (n°82-84): Le Pape demande que les fidèles aient libre accès, sans restriction, aux lieux saints.
·Evangélisation et mission de l'Eglise (n°85-91):
L'Exhortation souligne que la transmission de la foi est une mission essentielle de l'Eglise. Le pape encourage donc la nouvelle évangélisation qui, dans un contexte contemporain, marqué par le changement, doit être fait par le témoignage de la vie du fidèle.
·La catéchèse et la formation chrétienne (n°92-94):
Le document pontifical encourage la lecture et l'enseignement du catéchisme de l'Eglise catholique et une initiation solide dans la doctrine sociale de l'Eglise. Dans le même temps, le pape invite les synodes épiscopaux et d'autres organismes à permettre aux fidèles d'avoir accès à la richesse spirituelle des Pères de l'Eglise, et à mettre l'accent sur l'enseignement patristique, en complément de la formation biblique.
III) -ACTUALISATION
Dans le message papal adressé au Moyen Orient, le Pape invite les fidèles à éviter le fondamentalisme religieux pour s’ouvrir au dialogue avec les communautés juives et musulmanes. Ce message intéresse à plus d’un titre l’Afrique à cause de la monté sans cesse croissante des conflits intercommunautaires ou interconfessionnelles dus au manque de témoignage des uns et au fondamentalisme des autres. Comme mouvements intégristes, on peut citer entres le MNLA, le MJAO, le mouvement ANSARDINE au Mali, le BOCO ARAM au Nigéria. Cette situation met en péril la paix et constitue de ce fait un handicap pour l’exécution sérieuse de l’Exhortation Africae Munus sur la réconciliation, la justice et la paix. Comme les fidèles du Moyen Orient, les fidèles vivant en Afrique doivent aussi promouvoir la paix à travers une vie de communion et de témoignage. La Parole de Dieu en constitue l’âme et la source. Mais cette vie de communion et de témoignage doit trouver son développement cohérent dans le vécu des sacrements. De plus, on peut dire que la communion des membres de l’Eglise est utile car le témoignage n’est pas en rang dispersé. On pourrait dire à la manière eudiste que c’est l’ensemble pour la mission et que si cet ensemble n’est pas réel, c’est en vain que la mission sera effective. En d’autres termes, la mission ad extra de l’Eglise repose d’abord sur celle ad intra car, comme le dit le bienheureux pape Jean Pau II, le monde n’a plus besoin de prédicateurs mais de témoins !
CONCLUSION
Benoît XVI demande solennellement, au nom de Dieu, aux autorités politiques et religieuses, non seulement de soulager les souffrances de tous ceux qui vivent au Moyen-Orient, mais aussi d'éliminer les causes de cette souffrance, et de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour que la paix advienne. Dans le même temps, les fidèles catholiques sont exhortés à consolider et à vivre ensemble dans la communion, donnant vie à un dynamisme pastoral. "Un esprit tiède déplaît à Dieu", et donc les chrétiens du Moyen-Orient, catholiques et autres, sont encouragés témoigner du Christ avec courage et unis. Il s’agit d’un témoignage qui n’est pas facile mais qui est exaltant
ASSEDI BENARD etDABIRE BERNARD Candidats eudistes.
Le supérieur vice provincial à le regret de nous informer que notre confrère Patrice Adjeran a perdu son Père. il porte également à notre connaissance que les obsèques se dérouleront selon le programme ci après:
Portons donc notre confrère dans nos prières pendant ces moments particulièrement délicats. Prions pour le repos de l'âme du défunt